L’histoire de Claude, 65 ans, souffrant d’incontinence urinaire
Quel traitement pour l’incontinence urinaire ?
Claude a une incontinence urinaire persistante d’environ 17 grammes par jour, pouvant aller jusqu’à 30 grammes en cas d’effort. Ces pertes urinaires sont qualifiées de “légères” bien qu’elles l’obligent à porter une protection par jour.Depuis son intervention, Claude a suivi une cinquantaine de séances de rééducation périnéale qui lui semblent être sans effet. Néanmoins, son urologue ne souhaite pas dans l’immédiat envisager la pose de bandelettes sous urétrale. Cette pose est une technique chirurgicale consistant à positionner une bandelette sous le canal de l'urètre afin de bloquer la fuite d’urine quand la pression augmente dans la vessie.
Son médecin préfère que Claude continue encore une année de rééducation avant de conclure qu’elle ne suffit pas car il estime que cette opération n’est pas toujours efficace et peut entraîner des douleurs irréversibles.
Claude s’interroge sur la pose de bandelettes, son efficacité et ses risques. C’est alors qu’il fait appel à deuxiemeavis.fr.
Un deuxième avis éclairant sur les traitements de l’incontinence urinaire
Claude a connu le site deuxiemeavis.fr par sa mutuelle qui lui permet de bénéficier d’une prise en charge à 100%.Sans avoir eu besoin de se déplacer, Claude a reçu une réponse détaillée d’un urologue spécialisé quatre jours après avoir envoyé sa demande de deuxième avis.
Le médecin expert est très clair, Claude ne guérira pas de ses fuites urinaires avec des séances de kinésithérapie supplémentaires. Non seulement Claude a déjà effectué de nombreuses séances de rééducation périnéale mais en plus sa situation semble être totalement stabilisée puisqu’il ne note aucune amélioration d’une séance à l’autre.
Le médecin expert lui précise qu’il existe trois moyens de régler l’incontinence : la bandelette masculine trans-obturatrice, les ballons péri-cervicaux et le sphincter urinaire artificiel. Dans son cas, le médecin confirme que la bandelette est la meilleure solution.
Il rassure Claude sur son efficacité avec un taux de succès total de 75% et dans les autres cas, la situation est généralement significativement améliorée.
Par ailleurs, il le rassure également sur le fait que cette technique n'entraîne pas de douleurs irréversibles. Il existe des risques de douleurs à la racine des cuisses mais elles sont passagères et des risques rarissimes de plaie de l'urètre et rectale essentiellement sur des patients avec des antécédents spécifiques.
S’agissant d’une intervention qui a pour but d’améliorer le confort et qui est remboursée par la Sécurité Sociale, c'est à Claude qu'il appartient de faire le choix de se faire opérer. Grâce à ce deuxième avis, il est mieux informé et devient acteur de son parcours de santé.
Nous lui souhaitons bon courage pour la suite de son parcours !
Vous vous posez aussi des questions sur votre traitement ? Un deuxième avis médical peut vous être utile. N’hésitez pas à en parler à votre médecin !
*Pour des raisons de confidentialité et de protection de la vie privée, le nom des personnes a été changé.
Publication le 06/03/2020 par Philippine Picault
- Tous les articles
- Assurances
- Cancer
- Cardiovasculaire
- Dermatologie
- Deuxième Avis
- Endométriose
- Gastro-entérologie
- Gynécologie, urologie
- Infertilité
- Les coulisses de deuxiemeavis.fr
- Maladie rare, maladie orpheline
- Ménopause
- Neurologie
- Orientation, information, accompagnement
- ORL
- Orthopédie
- Podcast
- SOPK
- Spécialistes
- Stress post traumatique
- Télémédecine et dossier médical
- Témoignages
- Traitements et examens
- Troubles du sommeil
- Webinaires
Découvrez nos webinaires
L'histoire de Lakshmi, 67 ans, souffrant d'un mélanome
Lakshmi* vit à la Réunion depuis de nombreuses années. Retraitée depuis peu, cette adepte de méditation et de marche vit avec la maladie depuis plusieurs années. En effet, elle souffre d’un cancer de...
Par Marion Bonne le 08/04/2024
L'histoire de Joëlle, 52 ans, atteinte d'un rétrécissement aortique
Joëlle a 52 ans, 2 enfants, et elle habite à l’étranger.Elle est sportive, ne décrit aucun symptôme en particulier à l'effort, mais à l'occasion d'un bilan cardiaque systématique, avec test d'effort,...
Par Hortense Fisset le 01/04/2024
L’histoire de Léa, 41 ans, souffrant d’endométriose sévère
Enseignante en Bretagne, Léa* avait des difficultés à concevoir un enfant avec son conjoint. C’est en réalisant un bilan d’infertilité qu’elle a découvert qu’elle était atteinte d’endométriose....
Par Hortense Fisset le 25/03/2024
- Tous les articles
- Assurances
- Cancer
- Cardiovasculaire
- Dermatologie
- Deuxième Avis
- Endométriose
- Gastro-entérologie
- Gynécologie, urologie
- Infertilité
- Les coulisses de deuxiemeavis.fr
- Maladie rare, maladie orpheline
- Ménopause
- Neurologie
- Orientation, information, accompagnement
- ORL
- Orthopédie
- Podcast
- SOPK
- Spécialistes
- Stress post traumatique
- Télémédecine et dossier médical
- Témoignages
- Traitements et examens
- Troubles du sommeil
- Webinaires